Le parcours

Sur la ligne du Train des Pignes,

Sur la ligne du
Train des Pignes,

voyagez au rythme de la vapeur...

Du Comté de Nice à la Haute Provence, du pays de l’olivier à celui des châtaigniers, en passant par l’antique ville frontière d’Entrevaux et à la découverte d’Annot,
pays des grès…

Du Comté de Nice à la Haute Provence,
Du pays de l’olivier à celui des châtaigniers,
En passant par l’antique ville frontière d’Entrevaux
et à la découverte d’Annot, pays des grès…

parcours-carte

Un voyage historique

de Puget-Théniers à Annot

300 m
de dénivelé

et des rampes atteignant 30 mm/m

et des rampes
atteignant 30 mm/m

1h20
de voyage

à travers 20 km de paysages

à travers 20 km
de paysages

13 grands
ouvrages d’arts

mis en service en 1907

mis en service
en 1907

À l'occasion de
trains spéciaux,
prolongez le voyage jusqu'au Fugeret

À l'occasion de trains spéciaux

Prolongez le voyage jusqu'au Fugeret

L'histoire du
Train des Pignes

L'histoire du Train des Pignes

Ligne Nice-Digne

Le premier projet de liaison ferroviaire entre Nice et Digne est élaboré en 1861 par l’ingénieur dignois Alphonse Beau de Rochas, mais il faudra un demi-siècle pour qu’il se concrétise. Après que l’Etat a décidé sa réalisation à l’écartement d’un mètre, en raison des difficultés du relief, la Compagnie des Chemins de fer du Sud de la France entreprend sa construction en 1890. 
Au départ de la monumentale « Gare du Sud » à Nice, la voie ferrée parvient à Puget-Théniers en 1892 tandis que celle amorcée à Digne rejoint Saint-André-les-Alpes la même année. Les travaux entre ces deux sections prennent une tournure décisive à partir de 1900 avec le percement du tunnel de La Colle-Saint-Michel, long de 3457 mètres. Pendant une décennie, des centaines d’ouvriers s’activent dans la montagne, édifiant des remblais et des viaducs, creusant des tranchées et des tunnels, bâtissant des gares jusqu’à plus de 1000 mètres d’altitude. Le train parvient à Entrevaux et Pont-de-Gueydan en 1907, Annot en 1908 et Saint-André en 1911, effectuant enfin la jonction entre Nice et Digne.

La ligne Nice – Digne va connaître la prospérité, la première guerre mondiale, le déclin démographique des montagnes, les difficultés de l’entre-deux guerres avec une mise sous séquestre, le renouveau avec l’arrivée des premiers autorails en 1935, une autre guerre mondiale avec ses actes de résistance, puis de nouvelles menaces de fermeture jusqu’à la fin du 20ème siècle.
C’est pour la préserver et la promouvoir que ses défenseurs ont créé le Groupe d’Etude pour les Chemins de fer de Provence (GECP). Depuis 1980 cette association de bénévoles fait fonctionner le Train des Pignes à Vapeur sur la ligne, aujourd’hui modernisée et exploitée par la Région Sud – Provence Alpes Côte d’Azur.

Les origines d'un nom mythique...

Le “Train des Pignes”, un nom et de nombreuses histoires !

La plus folklorique nous emmène une nuit de Noël, une garde-barrière restée seule avec son enfant malade s’est trouvée à court de bois pour se chauffer. L’équipe d’un train passant dans la nuit s’arrêta pour lui offrir son charbon. Plus loin, la locomotive se trouva elle-même à manquer de combustible, les pommes de pins des arbres bordant la voie tombèrent directement dans le tender de la machine, qui put ainsi continuer son voyage.

Une autre histoire plus notoire, nous raconte que la vitesse des trains à vapeur était si faible que les voyageurs avaient le temps de descendre ramasser les pignes aux abords de la voie ferrée.

Autrefois peu flatteur, l’appellation “Train des Pignes” traversa les générations, les conflits et les difficultés pour être aujourd’hui ancrée dans la mémoire collective, représentant l’affection des populations pour ce tortillard provençal. 

la locomotive E211 !

Les origines d'un nom mythique...

Le “Train des Pignes”, un nom et de nombreuses histoires !

La plus folklorique nous emmène une nuit de Noël, une garde-barrière restée seule avec son enfant malade s’est trouvée à court de bois pour se chauffer. L’équipe d’un train passant dans la nuit s’arrêta pour lui offrir son charbon. Plus loin, la locomotive se trouva elle-même à manquer de combustible, les pommes de pins des arbres bordant la voie tombèrent directement dans le tender de la machine, qui put ainsi continuer son voyage.

Une autre histoire plus notoire, nous raconte que la vitesse des trains à vapeur était si faible que les voyageurs avaient le temps de descendre ramasser les pignes aux abords de la voie ferrée.

Autrefois peu flatteur, l’appellation “Train des Pignes” traversa les générations, les conflits et les difficultés pour être aujourd’hui ancrée dans la mémoire collective, représentant l’affection des populations pour ce tortillard provençal. 

la locomotive E211 !

Découvrez les villages

Puget-théniers

Benvenguda au Puget !
Un peu d’histoire : située au confluent du Var et de la Roudoule, Puget-Théniers fut longtemps une ville frontière entre le Royaume de France et le Comté de Savoie. Devenue sous-préfecture de 1860 à 1926, elle est la ville natale de Louis Auguste Blanqui, célèbre révolutionnaire sous la Monarchie et le Second Empire.

Centre bourg de la moyenne vallée du Var, Puget-Théniers vous offre tous les services et commerces d’une petite ville.

Côté sport : randonnées, piscine, tennis, raft, canoë-kayak… et la fameuse via-ferrata !

Au détour des ruelles, découvrez l’église romane du XIIIème siècle qui abrite une descente de croix sculptée par Matthieu d’Anvers (école flamande, chef d’œuvre unique sur le département). Présence également d’un retable d’Antoine de Ronzen (1525).

Puget-théniers

Benvenguda au Puget !
Un peu d’histoire : située au confluent du Var et de la Roudoule, Puget-Théniers fut longtemps une ville frontière entre le Royaume de France et le Comté de Savoie. Devenue sous-préfecture de 1860 à 1926, elle est la ville natale de Louis Auguste Blanqui, célèbre révolutionnaire sous la Monarchie et le Second Empire.

Centre bourg de la moyenne vallée du Var, Puget-Théniers vous offre tous les services et commerces d’une petite ville.

Côté sport : randonnées, piscine, tennis, raft, canoë-kayak… et la fameuse via-ferrata !

Puget-Théniers

Au détour des ruelles, découvrez l’église romane du XIIIème siècle qui abrite une descente de croix sculptée par Matthieu d’Anvers (école flamande, chef d’œuvre unique sur le département). Présence également d’un retable d’Antoine de Ronzen (1525).

La place du village accueille la statue de Maillol « l’action enchaînée », offerte à la commune par Georges Clémenceau en 1909 en hommage à Louis Auguste Blanqui.

Entrevaux

Benvenguda a Entrevaus !
Si le vacarme des canons s’est dissipé depuis longtemps, la cité fortifiée a conservé intact son charme des siècles passés : maisons étroites et hautes, ruelles tortueuses, places et fontaines, caserne et échauguettes, remparts et pont-levis sont autant de témoins des temps anciens qui prêtent à la rêverie et enflamment l’imagination  !

Cité frontière pendant 472 ans entre la Provence et le Comté de Nice, c’est à dire la France et le Piémont, Entrevaux a vu sa place forte complètement remaniée et améliorée par Vauban sous le règne de Louis XIV.

Entrevaux est aujourd’hui un site privilégié du tourisme offrant des possibilités de visites guidées et commentées au coeur du village médiéval. Site extraordinaire au milieu des oliveraies, construit sur un étroit éperon rocheux et ceint par une boucle du fleuve Var… Vauban voulait la citadelle imprenable, et elle ne s’est jamais rendue !

De la poudrière jusqu’aux cellules qui ont accueilli des officiers allemands prisonniers pendant la première guerre mondiale, la visite vous plonge dans les secrets et les coins sombres du fort. Imaginez ce qu’était la vie au sein de cette forteresse avec ses ponts levis, ses bastions, sa rampe d’accès, ses courtines, ses souterrains et profitez de très belles vues sur la cité médiévale et ses alentours.

Entrevaux

Entrevaux

Benvenguda a Entrevaus !
Si le vacarme des canons s’est dissipé depuis longtemps, la cité fortifiée a conservé intact son charme des siècles passés : maisons étroites et hautes, ruelles tortueuses, places et fontaines, caserne et échauguettes, remparts et pont-levis sont autant de témoins des temps anciens qui prêtent à la rêverie et enflamment l’imagination  !

Cité frontière pendant 472 ans entre la Provence et le Comté de Nice, c’est à dire la France et le Piémont, Entrevaux a vu sa place forte complètement remaniée et améliorée par Vauban sous le règne de Louis XIV.

Entrevaux est aujourd’hui un site privilégié du tourisme offrant des possibilités de visites guidées et commentées au coeur du village médiéval. Site extraordinaire au milieu des oliveraies, construit sur un étroit éperon rocheux et ceint par une boucle du fleuve Var… Vauban voulait la citadelle imprenable, et elle ne s’est jamais rendue !

De la poudrière jusqu’aux cellules qui ont accueilli des officiers allemands prisonniers pendant la première guerre mondiale, la visite vous plonge dans les secrets et les coins sombres du fort. Imaginez ce qu’était la vie au sein de cette forteresse avec ses ponts levis, ses bastions, sa rampe d’accès, ses courtines, ses souterrains et profitez de très belles vues sur la cité médiévale et ses alentours.

Annot

Benvenguda a Anòt !
Blotti au cœur d’un environnement préservé, au pied du site naturel des “grès d’Annot”, le village médiéval d’Annot recèle des trésors d’architecture légués par plusieurs siècles d’histoire.

Que vous optiez pour une balade dans les rues piétonnes du centre ancien ou pour la promenade vers les chapelles de « Vers la Ville » ou de « Vérimande », les oratoires, les maisons à encorbellement, les linteaux gravés et autres échoppes vous raconteront son riche passé.

Classé « Station Verte de Vacances », Annot accueille, en toutes saisons les randonneurs et autres amoureux de la nature.

Célèbre pour son site d’escalade au coeur des grès, Annot attire des grimpeurs de toute l’Europe.

Annot préserve aussi son terroir et ses traditions afin de mieux vous les faire partager ; qu’il s’agisse de produits locaux ou de festivités comme la Saint Fortunat et sa Bravade, la fête provençale ou le Festival du folklore.
Autant d’occasions d’apprécier l’accueil et la convivialité des Annotains.

Annot

Benvenguda a Anòt !
Blotti au cœur d’un environnement préservé, au pied du site naturel des “grès d’Annot”, le village médiéval d’Annot recèle des trésors d’architecture légués par plusieurs siècles d’histoire.

Que vous optiez pour une balade dans les rues piétonnes du centre ancien ou pour la promenade vers les chapelles de « Vers la Ville » ou de « Vérimande », les oratoires, les maisons à encorbellement, les linteaux gravés et autres échoppes vous raconteront son riche passé.

Classé « Station Verte de Vacances », Annot accueille, en toutes saisons les randonneurs et autres amoureux de la nature.

Annot

Célèbre pour son site d’escalade au coeur des grès, Annot attire des grimpeurs de toute l’Europe.

Annot préserve aussi son terroir et ses traditions afin de mieux vous les faire partager ; qu’il s’agisse de produits locaux ou de festivités comme la Saint Fortunat et sa Bravade, la fête provençale ou le Festival du folklore.
Autant d’occasions d’apprécier l’accueil et la convivialité des Annotains.

Le Fugeret

Benvenguda au Fujairet !
Après avoir quitté le pays d’Annot, nous entrons dans le territoire du Fugeret.

À plus de 800m d’altitude, la vallée s’élargit subitement pour former une vaste cuvette bordée par les sommets de la chaîne du Puy de Rent.
Sur les pentes abruptes poussent les genêts épineux, les rouvres et les noisetiers.

À la sortie du village, dans la grande échancrure qui coupe en deux un vaste éperon rocheux, la Vaïre torrentueuse a frayé péniblement son chemin.

Le Fugeret est réputé pour sa belle châtaigneraie mais aussi pour… ses boucles !

En amont du village le profil de la vallée de la Vaïre se raidit et la ligne doit rattraper 175 mètres de dénivelé en moins de 6 km à vol d’oiseau pour rejoindre l’entrée du tunnel de La Colle-Saint-Michel. Les constructeurs du chemin de fer, confrontés à cette difficulté, l’ont résolue avec élégance. Le tracé de la voie ferrée décrit une double boucle en forme de S au flanc du coteau qui domine le village, traversant en chemin trois tunnels, un pont et un viaduc, ce qui allonge un peu le parcours mais permet de gagner une quarantaine de mètres de dénivelé sans dépasser les déclivités maximales de 30 mm/m admises sur la ligne. C’est ainsi que le train passe par deux fois au dessus de la gare qu’il a quittée quelques minutes auparavant !

Le Fugeret

Le Fugeret

Benvenguda au Fujairet !
Après avoir quitté le pays d’Annot, nous entrons dans le territoire du Fugeret.

À plus de 800m d’altitude, la vallée s’élargit subitement pour former une vaste cuvette bordée par les sommets de la chaîne du Puy de Rent.
Sur les pentes abruptes poussent les genêts épineux, les rouvres et les noisetiers.

À la sortie du village, dans la grande échancrure qui coupe en deux un vaste éperon rocheux, la Vaïre torrentueuse a frayé péniblement son chemin.

Le Fugeret est réputé pour sa belle châtaigneraie mais aussi pour… ses boucles !

En amont du village le profil de la vallée de la Vaïre se raidit et la ligne doit rattraper 175 mètres de dénivelé en moins de 6 km à vol d’oiseau pour rejoindre l’entrée du tunnel de La Colle-Saint-Michel. Les constructeurs du chemin de fer, confrontés à cette difficulté, l’ont résolue avec élégance. Le tracé de la voie ferrée décrit une double boucle en forme de S au flanc du coteau qui domine le village, traversant en chemin trois tunnels, un pont et un viaduc, ce qui allonge un peu le parcours mais permet de gagner une quarantaine de mètres de dénivelé sans dépasser les déclivités maximales de 30 mm/m admises sur la ligne. C’est ainsi que le train passe par deux fois au dessus de la gare qu’il a quittée quelques minutes auparavant !

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